Ce rapport a été commandé par l'Etat du Sénégal manifestant ainsi une volonté de prioriser la lutte contre les inégalités, et de renforcer la production locale ainsi que la création d’emplois. Cependant, les ressources publiques ne seront pas en mesure d’atteindre ces objectifs à elles seules. Il leur est donc essentiel de mobiliser des investissements privés pouvant également générer des impacts sociaux positifs.

Il est généralement admis que, dans une économie comme celle du Sénégal, l'entreprenariat et les entreprises, notamment les petites et moyennes entreprises (PME), sont les moteurs de la création de richesse et de la croissance économique. 

Pour que l’investissement à fort impact recueille un large soutien, l’État peut également chercher, à l’aide de mesures politiques, à encourager les entreprises traditionnelles existantes à générer un plus grand impact social

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RSE et santé en Afrique - les multinationales du médicament alimentent l'informel

L’Association Africaine des Industries du Médicament et l’Institut Afrique RSE ont lancé une étude sur la « Responsabilité Sociétale des industries du médicament et la création de la valeur partagée dans le secteur de la santé en Afrique : Cas du Cameroun».

Le premier objectif de sensibilisation de ce rapport visait principalement le degré d’engagement des producteurs locaux dans le domaine social, environnemental et de la gouvernance. Parmi eux, Genemark, entreprise du portefeuille IPDEV, dont la directrice Gisèle Etame lutte au quotidien pour valoriser la production locale de génériques permettant de faire baisser le coût de la santé sans faire l'économie de la qualité et de la sécurité.

Grâce à la structuration d'une filière locale, sévèrement contrôlée au même titre que les médicaments de marque importés, les industriels pharmaceutiques font reculer la demande qui encourage les "pharmacies par terre" et donne un accès élargi aux médicaments

The African Center for Economic Transformation (ACET) is an economic institute supporting Africa's long-term growth through transformation. Their vision is that by 2025 all African countries will drive their own growth and transformation agendas, led by the private sector and supported by capable states with good policies and strong institutions. The ACET works toward that vision through their analysis, advice and advocacy. 

The premise of this first African Transformation Report is that the recent economic growth, while welcome, will not by itself sustain development on the continent. To ensure that growth is sustainable and continues to improve the lives of the many, countries now need to vigorously promote economic transformation. Growth so far has come from macroeconomic reforms, better business environments, and higher commodity prices. But economic transformation requires much more.

Countries have to diversify their production and exports. They have to become more competitive on international markets. They have to increase the productivity of all resource inputs, especially labor. And they have to upgrade technologies they use in production. Only by doing so can they ensure that growth improves human well-being by providing more productive jobs and higher incomes and thus has everyone share in the new prosperity.

Visit the ACET website

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France 24 shot in Kinshasa this week for a special edition about the entrepreneurship in Democratic Republic of Congo.

While the African continent is undergoing a fast-growing economic transformation, DRC still suffers from a strong crisis and struggles for development. On the other hand, foreign investors and Congolese diaspora are on their way back to the country to take part in this uneasy but tangible recovery. Stéphanie Antoine, French journalist for France 24 interviewed political and economic decision-makers as PM Augustin Matata Ponyo or else Michel Lozembe, President of the Congolese Bank Association but also the small entrepreneurs who are at core of the country's economic recovery.

Among them was Eric Marquer, CEO of OXUS RDC, a microfinance institution - part of IPAE's 14 current investments. Under the scope of Oxus Group, Oxus DRC provides microfinance services for over 7000 clients but the local demand is far from being entirely covered. Only 2% of the Congolese are estimated to have a banking account, 5% with the MFI's clients. This rate is extremely low even for an African country and could be uppered by a long-required foreign investment driving force. Growth performances on this segment being able to reach 20% each year.

Watch the broadcast online (part. 1)

Watch the broadcast online (part. 2)

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Cette semaine, l'émission "La Semaine de l'Eco" diffusée par France 24 était à Kinshasa pour un numéro spécial "Entreprendre en République Démocratique du Congo".

Alors que le continent africain est en pleine mutation économique, la RDC souffre encore d'un lourd handicap sur le plan du développement. Pourtant, quelques investisseurs étrangers reviennent aux côtés de ressortissants congolais expatriés revenus pour aider à ce redémarrage difficile mais loin d'être en sommeil. Stéphanie Antoine rencontre ici des décideurs politiques comme le premier ministre Augustin Matata Ponyo et économiques comme le Président de l'Association des Banques Congolaises Michel Lozembé mais aussi les petits entrepreneurs, grands acteurs de cette relance.

Parmi eux, Eric Marquer, directeur d'Oxus RDC, une institution de microfinance qui compte parmi les 14 investissements actuels du portefeuille IPAE. Cette filiale du groupe Oxus dessert aujourd'hui 7000 clients mais la demande en services bancaires demeure loin d'être satisfaite puisque seulement 2% des Congolais sont bancarisés, 5% en comptant la microfinance. Ce taux très faible même dans le contexte africain pourrait pourtant être renforcé par les acteurs étrangers qu'Eric Marquer appelle à venir investir en RDC sur un secteur qui atteint des performances de croissance allant jusqu'à 20% par an

Regarder le reportage (part. 1)

Regarder le reprotage (part. 2)

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Interviewé par Le Magazine de l'Afrique, Jean-Michel Severino rappelle ses convictions, qui sont celles d'I&P, sur la réalité du développement africain. Si le regard exprimé en 2010 dans Le Temps de l'Afrique n'est aujourd'hui plus à contre-courant d'une perception ambiante du continent, il n'en demeure pas moins que cette réalité trouve toujours des difficultés à se frayer un chemin vers les sphères décisionnelles et économiques.

Or pour Jean-Michel Severino, la France a tout intérêt à se donner les moyens de construire le développement africain aux côtés de ses acteurs économiques locaux. Pas d'optimisme hâtif cependant, car s'il appelle à un retour de l'intérêt français vers l'Afrique, de nombreuses épines en lardent encore le mouvement. L'Afrique doit être abordée non pas comme un no man's land économique et social, ni comme un nouvel eldorado mais comme un ensemble hétérogène et complexe à la lumière des immenses défis économiques, structurels, sociaux et environnementaux qui la traversent.

Il rappelle notamment, à travers le segment d'intervention choisi par Investisseurs & Partenaires, c'est-à-dire les PME et les IMF, le rôle fondamental des petits entrepreneurs, ceux qu'il appelle "Les Bill Gates africains de demain"... 

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Le magazine Forbes Afrique consacrait dans son numéro de Mai 2014, un dossier sur l'impact investment, suite à la classification de ce segment comme nouvelle classe d'actifs par J.P.Morgan. L'article souligne que cette approche "vise à renforcer le talent entrepreneurial et l'écosystème africains" ce qui justifie sa montée en puissance sur le continent.

David Munnich, chargé de la nouvelle stratégie d'IPDEV2, présente dans ce dossier, le métier et les domaines d'intervention d'Investisseurs & Partenaires :

" Notre métier est l'investissement en capital dans les entreprises. C'est un métier qui est apparu avant son nom, parce qu'on l'a appelé "impact investing". Mais il existait avant. Il consiste à prendre des actions [...] auprès des créateurs d'entreprises et à les accompagner pendant plusieurs années."

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According to EMPEA’s latest industry statistics, private equity firms raised US$6.5 billion through 41 emerging markets funds in the first quarter of 2014, compared to US$8.0 billion in capital raised from the same number of funds in the first quarter of 2013. In Q1 2014, fund managers deployed US$5.6 billion across 242 deals, a 46% and 13% increase in capital invested  and the number of deals, respectively, from Q1 2013.

The Emerging Markets Private Equity Association (EMPEA) is an independent, global membership association whose mission is to catalyze the development of private equity and venture capital industries in emerging markets. EMPEA’s 300+ member firms share the belief that private equity can provide superior returns to investors, while creating significant value for companies, economies and communities in emerging economies. 

 

Download the high-level public summary

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125 of the world’s largest impact investors, including fund managers, banks, foundations, development finance institutions, and pension funds surveyed by J.P. Morgan and the Global Impact Investing Network (GIIN) expect to commit 19% more capital to impact investments in 2014 compared to 2013, as satisfaction with the financial returns and the social and environmental impact of these investments remains high.

Spotlight on the Market, the 2014 edition of the J.P. Morgan and GIIN annual impact investor survey, released May 2nd and to which I&P responded, reveals market growth amidst greater government support, new product and fund launches, and widespread impact measurement. For the first time, the survey provides detailed insight into asset allocation trends across regions, sectors, and financial instruments from the largest-ever respondent group, up 26% this year from 2013. 

 

About the Global Impact Investing Network

The Global Impact Investing Network (GIIN) is a nonprofit organization dedicated to increasing the scale and effectiveness of impact investing. For more information, please visit www.thegiin.org   

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Déclarait Jean-Michel Severino, CEO d'Investisseurs & Partenaires, entendu dans le cadre de la semaine de la recherche organisée par l'Ecole de Gouvernance et d'Economie (EGE) de Rabat du 14 au 16 mai dernier.

Son intervention ouvrait d'enthousiasmantes perspectives de partenariats économiques entre le Maroc et l'Afrique Sahélienne, segment important du portefeuille d'I&P (28 investissements sur 50). Pour Jean-Michel Severino, le Maroc est appelé à un destin de partenaire privilégié de la zone combinant un voisinage géographique avec des pratiques économique et financière propices à lui faire incarner ce rôle.

Sur l'autre rive du Sahara, le terrain entrepreneurial est maintenant fertile et prêt à accueillir ces investissements. Terrain sur lequel le Maroc s'est déjà positionné.

Lire l'article de Médias 24

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Patrice Gomis était interviewé dans le N°88 du magazine Réussir. Présent dans le paysage médiatique sénégalais depuis Juin 2006, RĒUSSIR, « le magazine du business», est depuis lors le mensuel économique de référence. Tiré à 5000 exemplaires, RĒUSSIR est distribué à Dakar et dans toutes les régions du Sénégal ainsi qu'au Mali.

Dans cet entretien sur le capital-investissement, Patrice Gomis, chargé d'investissement et responsable du bureau d'I&P à Dakar, détaille la philosophie, la stratégie et le besoin d'intervenir sur ce segment que sont les PME. 

Ce numéro consacrait également un focus sur Charles Kebe, DG de Duopharm (IPDEV) et Khadijatou Nakoulima, co-fondatrice de Nest For All (IPAE), deux entreprises partenaires d'I&P au Sénégal. 

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Description de la position

 

Sous la supervision d’un Directeur d’Investissement et en contact direct avec les équipes managériales des entreprises en portefeuille, le chargé d’investissement travaillera avec une autonomie croissante sur chaque étape du cycle d’investissement. Le poste interviendra dans le périmètre du fonds I&P Afrique Entrepreneurs (fonds de 54 millions d’euros investissant entre 300 millions et 1,5 milliards de FCFA par entreprise), actuellement en phase d’investissement. Le poste sera basé à Ouagadougou dans des bureaux partagés avec une autre entité du groupe I&P.

Tâches principales :

  • Contribuer à générer un « deal flow » de qualité au Burkina Faso, au Mali et au Niger ;
  • Collecter et analyser les informations financières et de marché qui éclaireront les décisions d’investissement ;
  • Prendre en charge l’analyse des prospects et la due diligence avant l’investissement ;
  • Evaluer les opportunités commerciales et financières des cibles ;
  • Elaborer les mémorandum d’investissement ;
  • Contribuer à la négociation et au montage financier des investissements ;
  • Assurer le suivi les investissements déjà réalisés, en relation directe avec les équipes managériales, et en documentant régulièrement leur performance financière et ESG ;
  • Contribuer au processus de sortie.

Profil recherché

Le candidat devra avoir de bonnes compétences analytiques et financières d’excellentes capacités relationnelles, être énergique, tenace et partager les valeurs d’I&P (esprit entrepreneurial, engagement pour le développement, intégrité et exigence) être motivé par le double objectif financier et développemental et être intéressé par un défi de long terme.

Qualifications requises

  • Au moins 7 ans d’expérience en finance d’entreprise, fonds d’investissement, banque d’affaires et / ou Conseil en stratégie ;
  • Diplôme d’études supérieures de niveau Master en Finance ou Gestion ;
  • Une excellente/bonne connaissance de l’environnement Ouest-Africain est requise.

 

CV + LM à transmettre à Isabelle Colin : i.colin@ietp.com  et Sébastien Boyé : s.boye@ietp.com

En l’absence de réponse de notre part dans les 3 semaines qui suivront votre envoi, nous vous remercions de bien vouloir considérer que votre candidature n’a pas été retenue.