Investisseurs & Partenaires fait partie, pour la seconde année consécutive, du classement ImpactAssets 50 (IA 50), une source d'information gratuite et accessible à tous sur le secteur de l'impact investing. Le classement, lancé il y a 5 ans, distingue les fonds d'impact investing expérimentés et faisant preuve d'un véritable engagement dans leur stratégie sociale et environnementale.

 

 

 

 

Les fonds sélectionnés par IA50 représentent un total de 13,6 milliards de dollars sous gestion, orientés vers la recherche d'un impact positif et quantifiable.

Le comité de sélection est présidé par Jed Emerson, Directeur de Stratégie chez ImpactAssets, et inclut des experts du groupe CAPROCK, de Toniic, d'UBS et de Blue Haven Initiative.

Pour être sélectionné par IA 50, les fonds doivent avoir un minimum de 10 millions de dollars sous gestion, plus de 3 ans d'expérience en tant qu'impact investor, et démontrer le suivi de leur politique d'impact environnementale et/ou sociale.

IA 50 - Investisseurs & Partenaires

 

 

The crowdfunding platform Blue Bees, dedicated to agriculture, agroecology and sustainable food system, has recently launched a campaign to support the Madagascan company PhileoL. The objective is to finance the annual collect of castor oil seeds, ensuring stable income for 5,000 small producers in the region.

 

 

 

Located in the south of Madagascar, one of the poorest regions of the island, PhileoL is a company specialized in the collect of oil seeds. The company notably collect castor oil seeds and collaborates with more than 5,000 farmers. This activity is crucial to ensure stable and diversified income for the producers.

To find out more, click here

 


About Blue Bees

Blue Bees is a crowdfunding platform dedicated to projects promoting sustainable agriculture and sustainable food system. The projects must be environmental-friendly and economically viable, enhance job creation and develop social connections on the territory.

 

 

La plateforme de financement participatif Blue Bees, dédiée à l'agricultulture, l'agroécologie et l'alimentation responsable, a récemment lancé une campagne pour soutenir l'entreprise malgache PhileoL dans sa collecte annuelle de graines de ricin, dont l'objectif est très ambitieux cette année: récolter 250 tonnes de graines pour produire 80 tonnes d'huile.

 

 

 

Implantée dans le sud de Madagascar, région parmi les plus pauvres de l'île, PhileoL est une entreprise spécialisée dans la collecte et transformation de graines d'oléagineux. Elle collecte notamment des graines de ricin en collaborant avec plus de 5000 agriculteurs. L'entreprise joue un rôle important dans la filière oléagineuse malgache et contribue à structurer un réseau de producteurs de graines de ricin, pour diversifier, sécuriser et pérenniser les sources de revenus des paysans. 

► Pour en savoir plus et soutenir le projet, Cliquez ici

 


A propos de Blue Bees

La société Blue Bees est une plateforme de finance participative destinée à promouvoir et faciliter la réalisation de projets qui oeuvrent pour une agriculture et une alimentation durables, c'est à dire écologiques, viables économiquement, source d’emplois et de liens sociaux sur les territoires.

 
 

L’entreprise malgache IOT, fondée en 2012 par Jaco Chan Kit Waye et Olivier Méraud et spécialisée dans la production de concombres de mer, a récemment conclu une première exportation réussie à l’international.

 

 

 

IOT a développé, en partenariat avec une équipe scientifique locale, une technique de reproduction inédite des concombres de mer, poursuivant à travers cette activité un double objectif environnemental et social. L’aquaculture de concombres de mer crée des revenus complémentaires pour les communautés de pêcheurs et contribue à réduire la surpêche et lutter contre l’extinction de la faune marine.

Après trois ans d’exploitation, IOT a vendu un lot de 450 kgs de concombres de mer à des clients basés à Singapour. Une première vente réussie qui confirme la pertinence du modèle de l’entreprise.

  

 


 

Pour en savoir plus sur les impacts d’IOT : voir le projet ‘’Les Grands Moyens’’

 

Le 13 octobre, la journaliste Emmanuelle Bastide réunit un plateau d’entrepreneurs africains pour l’émission ‘’7 milliards de voisins’’, diffusée en direct à 12h. Elodie Nocquet, directrice ESG et Impact, et trois entrepreneurs partenaires d’I&P seront présents.

► Cliquez ici pour réécouter l'émission

 

 

Les trois entrepreneurs partenaires d’I&P participant à l’émission sont à la fois les fondateurs et dirigeants de leurs entreprises.

Gabriel Fopa, co-fondateur et co-directeur d’ITG Store, entreprise camerounaise spécialisée dans les services informatiques. L’entreprise a été créée en 2006 par Gabriel Fopa et Eric Heslot, deux ingénieurs en informatique ayant plus de 15 ans d’expérience dans ce domaine.

Moussa Dia, directeur général de Sofamac, entreprise de construction sénégalaise spécialisée dans la production de briques, carreaux et tuiles en argile.

Simon Rakotondrahova, fondateur et directeur de la société malgache SCRIMAD. La principale activité de cette entreprise consiste en la collecte, le traitement et l’exportation de litchi.

Elodie Nocquet, directrice impact & ESG chez I&P sera également présente pour expliquer comment les critères RSE sont pris en compte dans la sélection des dossiers et le processus d’accompagnement des entreprises.

L’émission diffusera également un reportage sur la directrice de Nutrizaza, Mieja Vola Rakotonarivo. Nutrizaza est une entreprise sociale malgache.  

 

 Plateau RFI

de gauche à droite: Gabriel Fopa, Elodie Nocquet, Moussa Dia,Emmanuelle Bastide et Simon Rakotondrahova

 
 

Du 12 au 17 octobre 2015, l’ESSEC organise sa 2ème Semaine de l’engagement destinée à valoriser l’ensemble des formes d’engagement qui s’expriment tout au long de l’année au sein de l’école. L’entrepreneuriat africain sera à l’honneur cette année avec la présentation du projet Les Grands Moyens. Deux entrepreneurs d'I&P, Sidi Khalifou (CDS) et Jaco Chan Kit Waye (IOT) seront présents.

 

 

 

Les entrepreneurs ayant participé au projet Les Grands Moyens ont été mobilisés pour partager leur expérience auprès des étudiants de l’ESSEC. Seront ainsi présents Sidi Khalifou, de CDS, Jaco Chan Kit Waye, d’IOT, mais aussi Bilikiss Abdebiyi, fondatrice de Wecyclers au Nigéria.

Sidi Khalifou, directeur de l’entreprise mauritanienne CDS, participera lundi 12 octobre à une session ‘’hold-up’’, organisée par les étudiants.  

 

Jaco Chan Kit Waye interviendra aux côtés de Pierre Carpentier et Mialy Ranaivoson, tous deux en charge des investissements I&P à Madagascar. La session, organisée la matinée du 13 octobre, a pour but de présenter en détail le projet Les Grands Moyens et de revenir sur le rôle joué par les petites et moyennes entreprises en tant qu’acteurs de développement du continent.

► En savoir plus sur Les Grands Moyens

 

Télécharger le programme

Programme

 

 

L’entreprise CDS, PME mauritanienne proposant des services d’eau et d’électricité dans les zones rurales et isolées du pays, a conclu trois nouvelles délégations de service public (DSP) au sud de la Mauritanie.

 

Les nouvelles DSP, à Chigara, Rgiuiwatt et Rabbani, sont localisées à côté de Rosso, au sud de la Mauritanie. La population est estimée à 2 700 habitants.

A travers les délégations de service public, CDS intervient pour le compte de l’Etat ou des collectivités locales. Ces DSP constituent l’une des principales activités de l’entreprise.

 

Ainsi que le rappelle Sidi Khalifou, directeur de CDS : ‘’plus de 90% de la population n’a pas accès à l’électricité. On propose des solutions immédiates et on fait du service public pour permettre à la population de s’équiper en énergie pour la téléphonie, l’éclairage…  On sait que c’est particulièrement difficile pour l’Etat et nos collectivités. Une entreprise telle que la nôtre peut parvenir à électrifier ces zones isolées’’.

 

Reportage de Joan Bardeletti sur CDS (Les Grands Moyens)

The 195 States participating to the COP21, held in Paris in December 2015, had to submit their greenhouse-gas emission reduction target. The vast majority of African countries have respected the deadline, set on October 1st.

 

 

The cost of climate change for the continent

According to Marion Richard (Réseau action climat), the cost of climate change for African countries is estiumated between 7 to 15 billion dollars per year. Le Point Afrique has recently interviewed the Tosi Mpanu-Mpanu (member of the DRC Climate Task Force) on the subject: “Africa and its 1 billion people are only responsible for 3 to 4% of the global greenhouse-gas emissions. And yet, Africa is paying a high price: coastal erosion, disappearance of mangrove forests, erratic rainfall…”

 

As estimated by Dr. Hanne Knaepen (member of the Think Tank European Centre for Development Policy Management): “For Africa, agriculture and land use will be very important in the negotiations to ensure food security and economic growth, implying a strong need for adapting to the negative impacts of climate change, particularly for least developed countries.”  

 

A development opportunity for African countries ?

Africa should not stand as a victim on these issues, says Tosi Mpanu-Mpanu: “one of the biggest challenges here is to transform climate change issues into an opportunity of development for the continent. The COP21 should give us the means to adapt ourselves to the situation. Sub-Saharan Africa has a great potential in terms of renewable energy.”

 

One of the key issue at stake for the negotiations to come is how the financing resources will be shared among the countries. Most of the African countries have mentionned a ''conditionnal commitment" to their projects, depending on international aid.

 

 

Find out more on the subject


Osman-Elasha, B. "Impacts des changements climatiques, adaptation et liens avec le développement durable en Afrique.", FAO, octobre 2015

"COP21 : Ce qu'il faut savoir des engagements africains pour le climat’’, Jeune Afrique, octobre 2015

"COP 21 : Que révèlent les contributions nationales africaines ?’’, RFI, août 2015

"COP21 : Quatre nouveaux pays africains ont annoncé leurs plans de réduction de gaz à effet de serre", Jeune Afrique, août 2015

"L'Afrique sera motrice de son propre développement durable ! ", Ideas for Development, février 2015

"COP21 - Fatima Denton : « Le Fonds vert de l'ONU pour le Climat n'est pas suffisant » ", Jeune Afrique, Septembre 2015

"Africa: High Stakes for the EU and Africa - Cop21 Position", AllAfrica.com, septembre 2015

Cochran, Ian, and Romain Morel, "Sur la Route des 100 Milliards de Dollars pour le climat?",  Le Huffington Post, octobre 2015

To check the projects submitted country by country : INDC Submissions

 

Les 195 Etats attendus pour la COP 21 de décembre 2015 avaient jusqu’au 1er octobre pour annoncer leurs plans de réduction de gaz à effet de serre. La très grande majorité des Etats Africains ont respecté ce délai.  « Les États africains ont joué le jeu de l’atténuation alors qu’ils étaient davantage attendus sur le terrain de l’adaptation au réchauffement climatique », explique Imène Ben Rabat d’Expertise France (propos rapporté dans Jeune Afrique)

 

 

 

Le coût du changement climatique pour le continent africain

D’après Marion Richard, du Réseau action climat, le coût du changement climatique pour les pays africains est estimé entre 7 et 15 milliards de dollars par an. Le Point Afrique a interviewé le Congolais Tosi Mpanu-Mpanu, membre de la Task Force Climat RDC, à ce sujet : ‘’L'Afrique et son milliard d'habitants ne sont responsables que de 3 à 4 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Pourtant, l'Afrique paie la note la plus salée : érosion des côtes, disparition de la mangrove, pluies de plus en plus erratiques qui bouleversent l'agriculture, diminuent la production agricole, accélèrent la désertification.’’

Comme l’estime le Dr. Hanne Knaepen member du Think Tank European Centre for Development Policy Management: “L’agriculture et la préservation des terres sont des composantes majeures pour assurer la sécurité alimentaire et la croissance économique en Afrique. Cela implique un réel besoin d’adaptation aux impacts négatifs du changement climatique, particulièrement pour les Pays les Moins Avancés”

D’après les estimations du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), le réchauffement de la majorité du territoire africain s’est élevé à 0,7 °C au cours du XXe siècle. Les évènements extrêmes, comme les inondations et les sécheresses, surviennent plus souvent et avec une gravité croissante.

 

Une opportunité de développement ?

Toujours d’après Tosi Mpanu-Mpanu, l’Afrique ne doit pas et ne veut pas se confiner dans une posture de victime : ‘’Un de nos grands soucis est de transformer le changement climatique en opportunité de développement : la COP21 doit nous donner les moyens de nous adapter à la situation. Le continent noir est un réservoir considérable d'énergies de substitution, nous avons le soleil, le vent, la biomasse...’’

 

L’enjeu de l’allocation  des ressources

Le financement des projets proposés par les Etats est l’un des axes majeurs des négociations à venir. la plupart des pays africains ont ainsi ajouté des engagements ‘’conditionnels’’ à leurs promesses, dont la réalisation dépendra de l’aide internationale, notamment via le Fonds Vert pour le climat. Le projet de l’Ethiopie par exemple est coûteux et particulièrement conditionné à l’aide financière internationale, comme le souligne Jeune Afrique. La question de ce financement Nord-Sud sera un des principaux enjeux au cœur des négociations à Paris.

 

 

En savoir plus sur le sujet


• Osman-Elasha, B. "Impacts des changements climatiques, adaptation et liens avec le développement durable en Afrique.", FAO, octobre 2015

• "COP21 : Ce qu'il faut savoir des engagements africains pour le climat’’, Jeune Afrique, octobre 2015

• "COP 21 : Que révèlent les contributions nationales africaines ?’’, RFI, août 2015

• "COP21 : Quatre nouveaux pays africains ont annoncé leurs plans de réduction de gaz à effet de serre", Jeune Afrique, août 2015

• "L'Afrique sera motrice de son propre développement durable ! ", Ideas for Development, février 2015

• "COP21 - Fatima Denton : « Le Fonds vert de l'ONU pour le Climat n'est pas suffisant » ", Jeune Afrique, Septembre 2015

• "Africa: High Stakes for the EU and Africa - Cop21 Position", AllAfrica.com, septembre 2015

• Cochran, Ian, and Romain Morel, "Sur la Route des 100 Milliards de Dollars pour le climat?",  Le Huffington Post, octobre 2015

• Pour une liste des plans soumis : INDC Submissions

 

 

 

 

 

 

The microfinance network ACEP Africa Group is developping a formal CSR policy and social performance measurement tools. First developed in the ACEP institutions based in Niger, Burkina Fasob and Cameroon, this policy is meant to expand to the entire ACEP network in Africa.

 

CERISE, a knowledge exchange network specialized in microfinance, is contributing to the definition and set up of the social and environmental policy of the ACEP Group. The development of this policy is at the very heart of the project, constituting one of its major objective.

The CSR policy notably consists of:

  • integrating social and environmental criteria in the selection and follow-up of the clients
  • Develop the social responsibility of the group toward their clients and employees
  • Set up the adequate indicators to monitor the social performance

 


About ACEP network

ACEP Africa Group is conceived as a pan-african microfinance group, initiated by I&P and ACEP-Interntional. The network gathers the national branches of ACEP, based in Burkina Faso, Cameroon, Madagascar and Niger.

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Le réseau de microfinance ACEP Africa Group, en cours de constitution depuis le début d’année 2015,  lance une démarche de formalisation de sa politique de responsabilité sociétale et de mesure de la performance sociale.

 

Appliquée en premier lieu aux institutions du Niger, du Burkina Faso et du Cameroun, cette démarche a vocation à s’étendre à l’ensemble du réseau ACEP en Afrique. Le réseau bénéficie de l’appui technique de CERISE, un réseau d’échange spécialisé sur les pratiques de microfinance (avec lequel I&P avait travaillé pour développer un outil destiné aux entreprises sociales)

La formalisation d’une politique RSE et impact est au cœur du projet d’ACEP Africa Group, et constitue l’un de ses objectifs majeurs.  Cette politique porte notamment sur les dimensions suivantes :

  • Intégrer des critères sociaux et environnementaux dans la sélection et le suivi des dossiers
  • Développer la responsabilité vis-à-vis des clients et des employés
  • Mettre en place des indicateurs de suivi des politiques RSE et impact

 


A propos du réseau d’ACEP

ACEP Africa Group est un projet de groupe de microfinance panafricain, initié par I&P et ACEP-International. Le réseau permettrait de regrouper les institutions ACEP établies au Burkina Faso, Cameroun, Madagascar, et Niger.

► Cliquez ici pour en savoir plus

 

 

From September 30 to October 2, the Aspen Network of Development Entrepreneurs (ANDE) helds its annual conference, targeted at senior-level executives of ANDE member organizations, including leading investors, capacity development providers, foundations, banks, corporations, DFIs and research institutions. Read more

 

Olivier Lafourcade, Chairman of the board of I&P Développement and Emilie Debled, PR and Business Development Director at I&P, participate to the conference this year.

On October 1st, O. Lafourcade intervene in the session: "Collaboration and Concessions: Driving Healthy Competition with Concessionary Capital without Distorting Markets", with Matt Guttentag (USAID), Daniel Hsu (Village Capital), and Annie Roberts (Open Capital Advisors).

 

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